JACQUOU LE CÂLIN
Comme dans l'arêne,
A tes côtés je me trouvais
Contre mon ventre,
Je te réchauffais,
Prendre pour tendresse,
Ta dernière souplesse,
Dans cette soirée,
Tu agonisais,
Sans aucun respect,
De cette annonce,
Dans l'arêne, on abattait,
Le taureau du matador,
La mise à mort t'as emporté,
Dans ce dimanche pluvieux,
Pour ce dimanche heureux,
En tes vingts ans tu es parti.
le 16 novembre 2008